- la compréhension,
- la ré-utilisabilité des objets définis,
- l’administration de la solution.
Les objets manipulés à travers l’interface et les APIs sont les composants. Chaque composant est classifié en fonction de critères métiers ou techniques grâce à une classe de composants.
Une classe de composants définit les caractéristiques communes d’un même ensemble logique de composants. Ces ensembles sont caractérisés par des tags (ou métadonnées), une sécurité, des règles métiers ou techniques qui leurs sont propres.
Cette partie définit la notion de classe de composants utilisée pour caractériser les composants (documents, dossiers, tâches…) manipulés au sein de l’application. Ainsi tout composant référence une classe de composants via son identifiant.
Lorsqu’un tag est référencé sur une classe de composants, il est possible ensuite de le caractériser avec les paramètres suivants :
${dayDate}
)Chaque utilisateur de FlowerDocs peut créer un ou plusieurs composants en fonction de ses besoins, par exemple :
Une classe permet de définir un type ou une famille d’objet. Cette notion permet de faciliter la conception de solution basée sur FlowerDocs en permettant de définir une typologie d’objets pouvant être réutilisée dans un scope FlowerDocs.
Les tags
sont des métadonnées qui peuvent être définies sur un composant. Ils permettent de le caractériser et de le retrouver plus facilement grâce à des filtres sur ces tags.
Les tags qu’il est possible de définir sur un composant sont déterminés par les classes de tags existantes. Ce type de classes permet d’assurer une cohérence des données stockées dans FlowerDocs. Typiquement le montant d’une facture Amount
est un nombre décimal, chaque valorisation de ce tag sur un composant nécessitera que la valeur saisie soit un nombre décimal.
FlowerDocs propose plusieurs types de valeurs pour un tag :
Une classe de composants définit les caractéristiques communes d’un même ensemble logique de composants. Ces ensembles sont caractérisés par des tags (ou métadonnées), une sécurité, des règles métiers ou techniques qui leurs sont propres.
Cette partie définit la notion de classe de composants utilisée pour caractériser les composants (documents, dossiers, tâches…) manipulés au sein de l’application. Ainsi tout composant référence une classe de composants via son identifiant.
Une classe de composants permet de définir une typologie de composants :
En fonction de la catégorie de la classe de composants, des spécifités peuvent être ajoutées.
Lorsqu’un tag est référencé sur une classe de composants, il est possible ensuite de le caractériser avec les paramètres suivants :
${dayDate}
)
Un document est un composant à part entière avec la particularité de posséder un ou plusieurs contenus. Il s’agit donc d’un composant disposant d’un ensemble de tags (ou métadonnées) et d’un ensemble de contenus (ou fichiers).
Ces contenus peuvent être visualisés dans la visionneuse de document ARender.
Afin de restreindre l’accès ou les modifications pouvant être apportées au(x) contenu(s) d’un document, plusieurs permissions permettent de contrôler les opérations possibles :
READ_CONTENT
UPDATE_CONTENT
et ADD_CONTENT
DELETE_CONTENT
DOWNLOAD_CONTENT
PRINT
READ_ANNOTATION
CREATE_ANNOTATION
BUILD_NEW_DOCUMENT
Un dossier est un composant disposant d’enfants. Ces enfants peuvent être des documents ou d’autres dossiers.
Des contraintes peuvent être définies au niveau d’une classe de dossiers afin de restreindre les enfants pouvant être ajoutés à un dossier. Pour cela, il est possible de référencer les classes de composants autorisées.
Afin de restreindre l’accès ou les modifications pouvant être apportées à un dossier, plusieurs permissions permettre de contrôler les opérations possibles :
UPDATE_CONTENT
et ADD_CONTENT
DELETE_CONTENT
DETACH
(action possible depuis l’indexation de document)DOWNLOAD_CONTENT
. Le contenu téléchargé ne contient que le contenu documentaire du dossier et n’inclus pas les sous-dossiers.Certaines actions ne sont disponibles que si l’utilisateur a accès au document en écriture. Pour ceci, il faut qu’il ait la permission UPDATE
et qu’il ait reservé le dossier (cf Reservation).
ATTACH
FlowerDocs offre la possibilité de s’intégrer avec n’importe quels moteurs de workflow du marché.
Au sens FlowerDocs, un workflow est un enchaînement logique entre plusieurs classes de tâches où chaque étape correspond à un type de tâche (une classe de tâches).
Exemple : 1. Import Facture
–> 2. Validation comptable
–> 3. Validation frais généraux
–> 4. Paiement
Ces trois étapes correspondent à trois classes de tâches dont chacune possède deux types de réponses :
Lors du traitement d’une tâche, il peut être nécessaire que l’utilisateur ajoute un ou plusieurs composants. Ces documents sont appelés des pièces jointes d’une tâche et sont définis de manière globale par classe de tâches.
Afin d’effectuer des actions sur les pièces jointes, les permissions suivantes peuvent-être requise :
CREATE
pour la classe de composants à créerUPDATE_CONTENT
pour la classe de composants à créerDELETE_CONTENT
Note : Ces actions ne sont pas possible si la définition de pièce jointe est en lecture seule.
Lorsqu’un utilisateur a terminé de remplir les informations nécessaires d’une tâche, il a la possibilité de sélectionner une réponse parmi celles proposées. Ces réponses permettent ainsi à un workflow d’aller dans une des directions proposées.
Afin d’appliquer une réponse sur une tâche, la permission APPLY_ANSWER
est requise.
Afin d’éditer une tâche, l’utilisateur doit :
UPDATE
Afin qu’un utilisateur soit affecté au traitement d’une tâche, plusieurs moyens sont mis à disposition.
D’un point de vue technique, il suffit de remplir le champ assignee
de la tâche avec l’identifiant de l’utilisateur, le groupe ou l’équipe à laquelle est assignée la tâche.
L’appropriation d’une tâche consiste, pour un utilisateur, à s’affecter la tâche à soi-même.
L’appropriation d’une tâche ne peut être effectuée si la tâche n’est assignée à aucun utilisateur, ni à une des équipes de l’utilisateur connecté.
Ce type d’affectation requiert la permission APPROPRIATE
.
Il est également possible de s’affecter une tâche étant déjà affectée à un autre utilisateur si l’on dispose de la permission APPROPRIATE_ALREADY_ASSIGNED
.
L’assignation d’une tâche à un utilisateur consiste en l’affectation d’une tâche par un utilisateur A à un utilisateur B. Ce type d’affectation peut être effectuée même si la tâche est déjà assignée à un autre utilisateur.
Ce type d’affectation requiert la permission ASSIGN
.